Je m'appelle Maximilien et je suis aveugle de naissance. Ma cécité ne m'empêche pas de vivre pleinement mes passions. Je suis massothérapeute et j'adore le sport : ski alpin, voile, marche, vélo en tandem. Je suis aussi passionné par la radio (CB, PMR 446) et la musique, avec des goûts variés allant du blues au rock'n'roll en passant par la chanson française. À travers ce blog, je partage mes aventures et mes découvertes.
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dimanche 24 août 2025
🌊 La mer quand on ne la voit pas
Odeurs et sons
La mer, pour moi, ça commence par une odeur. L’odeur du sel, des algues, de la posidonie réchauffée par le soleil. Elle a mille nuances : parfois douce et apaisante, parfois piquante et forte. C’est souvent ce qui me dit en premier : « tu es arrivé au bord de l’océan ».
Puis viennent les sons. En Atlantique, les vagues roulent et se brisent avec puissance ; en Méditerranée, elles sont plus discrètes. J’aime écouter les goélands qui crient, ou le vent qui fait chanter les drisses et les câbles des voiliers. Ce sont mes musiques de mer.
À bord
Marcher sur une plage, c’est déjà voyager : le sable chaud et doux sous mes pieds, que je préfère aux galets, même si j’aime le bruit particulier qu’ils font sous l’eau. Mais c’est à bord d’un voilier que je me sens vraiment libre.
Je ressens la gîte, le roulis, les vibrations. Je fais corps avec le bateau. À la barre, c’est du plaisir, mais je préfère encore les écoutes, les winchs, le piano. Tant que je peux bosser avec l’équipage, je suis heureux. À bord, il n’y a plus de handicap, seulement un équipier parmi les autres.
Souvenirs marquants
Un souvenir reste gravé : une navigation entre Groix et Houat. J’étais à la barre, le voilier filait à 12 nœuds plein largue, sous un soleil magnifique, sur une mer d’huile, avec un vent parfait. Ce jour-là, j’avais l’impression de voler.
Anecdotes de marin
Les anecdotes, il y en a toujours. Comme la première fois que j’ai viré au guindeau : j’avais mal sécurisé le couvercle de la baille à mouillage… Résultat, je me le suis pris en pleine tête. Nom de bleu, je ne l’ai pas oublié !
Et puis il y a le mal de mer. Pas la peur, non. Mais la nausée, oui. Là, même entouré, on se sent seul. Je ne le souhaite à personne.
Après dix jours en mer, je reviens cuit. Tout ce que je veux, c’est manger et dormir. Et si possible manger de la viande, parce qu’après dix jours végés, j’en rêve 😅. Mais malgré la fatigue, je reviens plus calme, plus serein, parfois même plus fort.
Les petites habitudes
À bord, on boit beaucoup d’eau. Mais un coup de blanc, un verre de rouge ou une bière, ça fait plaisir. Et surtout, il faut toujours avoir du Coca au frigo : c’est le remède des marins contre le mal de mer.
Les manœuvres
J’aime barrer, mais ce que je préfère, ce sont les manœuvres d’équipe. En particulier l’envoi et l’affalage du spi : il faut être parfaitement coordonnés, chacun à sa place. C’est ce travail collectif qui me fait vibrer.
Les surprises en mer
La mer réserve aussi des cadeaux. Comme ces dauphins, en arrivant vers Groix et en repartant. Des dauphins communs, mais aussi des petits dauphins bleus et blancs, comme on me l’a décrit. Un souvenir unique, un moment de grâce.
La vie de nuit et au port
La nuit à bord, ce sont les craquements du bois, le clapot de l’eau, le souffle du vent. Quand je dors bien en mer… ah nom de bleu, c’est un sommeil profond, bercé par le bateau lui-même.
Au port, mon bruit préféré reste l’effervescence du départ : les voix des équipages, les cordages qu’on prépare, les voiles qu’on grée. C’est la vie qui s’anime avant de retrouver le large.
Les rêves de vieux gréements
Et puis il y a mes rêves. Ceux de vieux gréements à voiles carrées : misaine, hunier, perroquet, cacatois, grand-voile, artimon, perroquets de fougue, perruche et cacatois de perruche. Le rêve de monter aux mâts pour carguer ou déployer les voiles, de brasser les vergues comme les marins d’autrefois.
Je rêve aussi de phares, de vapeurs, de navires anciens. Bref, de tout cet imaginaire maritime qui m’habite depuis toujours.
En un mot : liberté
Si je devais résumer la mer en un mot, ce serait : liberté. Parce qu’elle apporte le calme, la sérénité, l’énergie, mais rappelle aussi qu’elle sera toujours plus forte que nous.
👉 Et vous, qu’est-ce que la mer évoque pour vous ?
Est-ce pour vous aussi un souvenir, un rêve, une odeur, une musique, une envie de voyage ? Racontez-moi en commentaire, je serais ravi de lire vos réactions et vos propres expériences de mer.
samedi 23 août 2025
Tout savoir sur les nuages : formation, types, dangers et croyances
Salut à tous, aujourd’hui on va parler des nuages 🌥️
On les voit tous les jours, ils habillent le ciel et changent sans cesse de forme. Mais les nuages ne sont pas seulement un décor : ils révèlent beaucoup sur la météo, et parfois ils annoncent des phénomènes dangereux comme les orages. Depuis toujours, les humains les observent, les interprètent, et même les intègrent dans des croyances et proverbes populaires.
☁️ Comment se forment les nuages ?
Un nuage apparaît lorsque l’air, chargé en vapeur d’eau, monte et se refroidit. En perdant de la chaleur, la vapeur se condense en millions de fines gouttelettes d’eau ou en cristaux de glace. Ces gouttelettes se regroupent et forment un nuage.
Pour se condenser, l’eau s’appuie souvent sur de petites particules (poussières, grains de sel marin, pollen).
👉 En résumé : quand l’air humide s’élève et se refroidit, un nuage naît.
🌤 Les grandes familles de nuages et comment les reconnaître
1. Les nuages élevés (au-dessus de 6 000 m)
Cirrus : filaments blancs très fins (“cheveux d’anges”). Annoncent souvent un front chaud → pluie ou neige dans 12 à 24 h.
Cirrostratus : voile blanchâtre qui peut entourer le soleil ou la lune d’un halo → signe d’une perturbation proche.
Cirrocumulus : petits grains blancs comme des écailles de poisson. Peu dangereux mais parfois signe d’instabilité.
2. Les nuages moyens (2 000 à 6 000 m)
Altostratus : voile gris uniforme, masque le soleil → pluie ou neige durable à venir.
Altocumulus : nappes ou boules blanches/grises. Quand ils sont en “moutons” serrés, ils annoncent parfois un orage.
3. Les nuages bas (jusqu’à 2 000 m)
Stratus : couche grise basse, donnant brouillard ou bruine. Danger : visibilité réduite sur route, mer et air.
Stratocumulus : gros paquets gris/blancs, souvent inoffensifs mais lourds au ciel.
Nimbostratus : très épais et sombres, ils donnent des pluies/neiges continues. Danger : inondations si ça dure.
4. Les nuages de développement vertical
Cumulus : jolis moutons blancs, synonymes de beau temps.
Cumulonimbus : énormes tours sombres, “enclumes du ciel” → orages violents, éclairs, rafales, grêle, parfois trombes marines ou tornades.
⚡ Les dangers liés aux nuages
Cumulonimbus : éclairs, tonnerre, orages, rafales, grêle → le plus dangereux.
Nimbostratus : pluies/neiges continues → danger d’inondations ou d’accumulations de neige.
Stratus : brouillard → danger de circulation routière et d’aviation.
Altocumulus instables : annonciateurs de grands orages.
Cirrus/Cirrostratus : annoncent un front chaud → changement météo rapide.
🚨 Que faire et ne pas faire selon la météo
En cas d’orage (cumulonimbus)
✅ Faire :
Se mettre rapidement à l’abri (bâtiment solide ou voiture fermée).
Éloigner les appareils électriques sensibles.
Reporter les activités en plein air.
❌ Ne pas faire :
Se réfugier sous un arbre isolé.
Rester près de l’eau (mer, lac, rivière).
Garder sur soi ou lever des objets métalliques (parapluie, outils, vélo…).
En cas de brouillard (stratus)
✅ Faire :
Réduire la vitesse en voiture, allumer feux de croisement/antibrouillard.
Utiliser des repères fixes pour s’orienter.
❌ Ne pas faire :
Rouler en pleins phares (ça éblouit et réduit la visibilité).
Coller la voiture de devant.
En cas de pluies continues (nimbostratus)
✅ Faire :
Vérifier les prévisions météo locales.
Se méfier des routes inondées.
Prévoir un équipement adapté.
❌ Ne pas faire :
Traverser une route ou un chemin inondé.
Sous-estimer la durée des précipitations.
📻 Préparer sa communication en cas de météo dangereuse
✅ Faire :
Garder une radio Cibi (CB 27 MHz) ou une radio PMR446 à portée, pour communiquer même si le téléphone ne passe pas.
Vérifier la charge des batteries (radios, téléphones).
Écouter les bulletins météo officiels (radio locale, stations maritimes, services météo).
Prévenir ses proches de l’itinéraire prévu si vous partez en mer, montagne ou randonnée.
❌ Ne pas faire :
Se fier uniquement aux applications mobiles.
Ignorer les alertes météo officielles.
🌙 Croyances et proverbes populaires
“Matin rouge, pluie le soir” : souvent vrai, car un lever rouge annonce l’arrivée d’une perturbation.
“Cercle autour de la lune, pluie commune” : halo (cirrostratus) = pluie/neige proche.
“Quand les moutons du ciel sont serrés, bientôt l’orage sera prêt” : altocumulus annonciateurs d’orage.
“Rouge le soir, espoir ; rouge le matin, chagrin” : coucher rouge = beau temps, lever rouge = pluie.
Brouillard d’hiver : croyance qu’il “garde la chaleur”, souvent associé à des journées plus douces.
Cumulonimbus : appelés “enclumes du ciel” par les marins, signe d’orages redoutés.
✅ Conclusion
Les nuages sont de véritables messagers du ciel. Savoir les lire, c’est anticiper le temps qu’il va faire, se protéger des dangers, et renouer avec une tradition millénaire d’observation. Ils sont à la fois science, sécurité et culture populaire.
Alors la prochaine fois que vous lèverez la tête, demandez-vous :
👉 “Ce nuage-là, que veut-il me dire ?”
💬 Et vous, qu’en pensez-vous ?
Avez-vous déjà appris à “lire” les nuages ?
Connaissiez-vous certains de ces proverbes ?
Observez-vous le ciel pour prévoir le temps ?
Partagez vos expériences, vos souvenirs ou vos croyances familiales en commentaire ⬇️ !
lundi 18 août 2025
Ce que j’ai traversé, ce que je suis
Salut à tous,
Pas d’intro marketing.
Pas de résumé poli.
Juste un besoin de poser ici les mots.
Raconter ce que j’ai traversé, ce qui m’a construit, ce qui m’anime.
Ce texte, ce n’est pas une carte de visite.
C’est ma voix, posée noir sur blanc.
Grandir sans voir, mais pas sans envie
Je suis né aveugle. Ou très malvoyant au début.
Assez pour lire un peu les gros caractères, mais pas pour longtemps.
Ma sœur voyait, moi pas.
Mais ça ne m’a jamais empêché de vouloir faire comme elle.
Quand elle a appris à faire du vélo, j’ai voulu aussi.
J’ai commencé sur son vieux vélo rose et vert, avec les petites roues d’appui.
Puis un demi-vélo, puis un tandem.
Aujourd’hui, je roule sur un tandem électrique.
Et la sensation de liberté est toujours là.
Premier contact avec la mer : la Corse
Avant même de découvrir la voile avec Kaspar,
j’avais déjà eu un premier coup de cœur… en Corse.
Sur une plage, avec un petit catamaran,
j’ai goûté à la mer, au vent, à la glisse.
Je ne savais pas encore que ça deviendrait une passion,
mais à ce moment-là, j’ai su une chose :
je voulais recommencer.
Et continuer. Encore. Toujours.
École adaptée, école ordinaire
J’ai commencé mon parcours scolaire au CPHV de Lausanne,
le Centre pédagogique pour élèves handicapés de la vue.
J’y ai appris le braille, l’usage du lecteur d’écran JAWS,
et tous les outils qui allaient m’accompagner dans la vie.
Une demi-journée par semaine, j’allais aussi à Pully,
dans une école dite "normale".
Ce mélange a été essentiel.
Jusqu’en 6e année, j’ai gardé un pied dans les deux mondes.
Le Valentin : un cadre humain
Pour continuer ma scolarité, on a cherché une école prête à m’accueillir.
C’est l’école du Valentin qui a dit oui.
J’y ai terminé ma 8e et 9e année,
et j’y ai rencontré Jennifer, mon amie fidèle encore aujourd’hui.
On était en 2007. J’avais fini l’école obligatoire.
Mais ce n’était que le début du vrai combat.
Pomy : trois mois d’enfer
On m’a alors envoyé faire un stage d’observation de 3 mois à l’ORIF de Pomy.
Et franchement ?
Un cauchemar.
Aucune écoute.
Une ambiance froide, méprisante.
Des encadrants rigides, fermés, à côté de la plaque.
Pas une vraie formation.
Pas un tremplin.
Juste une épreuve à encaisser.
J’ai tenu trois mois. Pas un de plus.
Et j’ai claqué la porte sans regret.
Jeuncomm : respirer à nouveau
Après cette expérience toxique,
l’école Jeuncomm m’a redonné un peu d’air.
Là, on m’a parlé normalement. On m’a respecté.
J’ai pu reprendre pied, envisager une formation sérieuse.
Et surtout : j’ai retrouvé confiance.
C’est aussi là qu’un ami m’a proposé de naviguer.
Un moment fondateur.
Le vrai déclic voile : Kaspar
Grâce à Kaspar, j’ai mis les pieds sur un voilier pour la première fois.
C’était en 2008–2009.
Et tout de suite, j’ai compris :
sur l’eau, je ne suis pas "en retard".
Je sens le vent, la gîte, les mouvements du bateau.
Je peux barrer, écouter, anticiper.
La voile m’a fait du bien.
Et elle ne m’a jamais quitté.
Cery : l’épreuve de trop
Dans ce parcours, l’AI a voulu m’envoyer passer un bilan.
Résultat : un rendez-vous avec un psychiatre mandaté, à Cery.
Je me souviens encore de lui : froid, figé, sûr de lui.
Il voulait à tout prix me coller un diagnostic inadapté.
Il ne m’écoutait pas. Il m’analysait.
Et ça, je l’ai très mal vécu.
Mais je ne me suis pas laissé enfermer dans sa vision.
Formation CFC à Aigle
En 2012, j’ai intégré l’ORIF d’Aigle pour une formation CFC d’employé de commerce.
L’école se faisait à l’École professionnelle commerciale de Lausanne.
C’était exigeant. Alternance. Fatigue. Adaptations.
Mais j’ai tenu le cap.
Et le jour des résultats, la directrice m’a dit :
« Vous ne l’avez pas eu au rabais, bravo ! »
Cette phrase, je m’en souviendrai toujours.
L’invalidité reconnue
Malgré le diplôme, l’assurance invalidité a tranché :
85 % d’invalidité.
Un chiffre. Une étiquette.
Et derrière : aucune porte ouverte vers un emploi stable.
Un mur en face. Mais pas une fin.
Juste le début d’un autre chemin.
Mon rêve d’enfant : la physiothérapie
À 9 ans, ma mère s’est blessée au genou.
Une physiothérapeute venait à domicile.
J’étais fasciné par ses gestes, sa précision, son calme.
Et un jour, je lui ai dit :
« Moi aussi, je veux faire ce métier. »
Mais quand on est aveugle, on vous répond vite :
« Ce n’est pas possible. »
Alors j’ai rangé ce rêve. En silence.
Le thérapeute aveugle et la bascule
Des années plus tard, ma sœur se fait masser
au Centre d’analyses sportives de Lausanne.
Le thérapeute est aveugle. Elle lui parle de moi.
Il accepte de me rencontrer.
Ce jour-là, tout change.
Il me parle vrai.
Il me montre que c’est faisable.
Il me tend une réalité que je croyais inaccessible.
Le diplôme de massothérapeute
Je me suis inscrit à l’école Épidaure.
J’ai suivi la formation de A à Z.
Et le 11 décembre 2016, j’ai obtenu mon diplôme.
Ce jour-là, j’étais en week-end de ski avec des amis.
Mais j’ai tout stoppé pour être à la cérémonie.
Parce que ce diplôme, je le devais au petit garçon
qui croyait qu’il n’aurait jamais le droit.
Le ski, la glisse, l’équilibre
Le ski fait aussi partie de ma vie.
Mes parents m’ont appris à leur manière.
Pas pour gagner. Pas pour épater.
Mais pour sentir la neige, la vitesse, la liberté.
Et skier, c’est encore aujourd’hui une manière d’être vivant.
2020 : tout s’arrête
Puis le Covid est arrivé.
Massages arrêtés.
Sorties gelées.
Projets en suspens.
Mais dans ce vide, une nouvelle passion a surgi :
la radio.
Radios et voix sur les ondes
En 2022, je découvre la CB (citizen band).
Ma première radio : une Alan 42.
Puis un President McKinley.
Ensuite, les PMR446 : Motorola T5422, puis Midland G9 Pro.
Je suis toujours là-dessus.
Et je continue d’explorer ce monde-là.
La mer, encore et toujours
Avec l’association La Barre Blanche,
j’ai navigué en Bretagne, à Minorque, et sur un ketch.
Chaque fois, des expériences humaines fortes.
Des équipages formidables.
Et la mer, toujours fidèle.
La mémoire des voix
Depuis l’enfance, j’ai une mémoire des voix.
Je reconnais les gens au son.
Je reconnais même les bateaux de la CGN à leur voix moteur.
Ce n’est pas un superpouvoir.
C’est juste une autre manière d’écouter.
Aujourd’hui
Je suis massothérapeute indépendant.
Je navigue. Je parle sur mes radios. Je skie. Je vis.
Je construis, doucement, un quotidien qui me ressemble.
Je n’ai pas toutes les réponses.
Mais je continue.
Parce que c’est ça, ma vraie force :
je ne m’arrête pas.
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